[One-shot] Bill & Tom <3

Hallo tout le monde! =)

Depuis un certain temps j'écris des One-shot, mais je n'ai jamais pensé à les mettre sur le forum. C'est en lisant ceux de liiebe-muziik-x3 que je me suis rendue compte que je pourrais bien vous montrer les miens aussi! ^_^ huhu

Donc, pour vous avertir, tous les one-shot que j'écris sont des yaoi et twincest entre Bill et Tom. J'en lis éromément aussi, alors j'ai pas mal d'inspiration et d'idées! =)

Je ne me considère pas du tout comme une 'auteur' extraordinaire.. En fait, j'ai écrit seulement trois O-S jusqu'à maintenant (le troisième est en cours). Sachez aussi que je n'écris pas vite étant donné que je n'ai pas énormément de temps. >___<

Voici le tout premier que j'ai écris.. Soyez indulgentes s'il vous plait! XD Mais n'hésitez pas à me donner des commentaires, qu'ils soient positifs ou négatifs! =D

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DAS LETZE MAL (La dernière fois)

Sur les bords d’une plage glacée et immobile se tiennent deux adolescents frigorifiés, les vêtements tachés de traînées écarlates. Ce soir, ils ont encore été malchanceux. Mais cette fois-ci, les séquelles sont plus graves.

L’un d’eux, créature fragile et délicate, semble avoir été abîmé par la violence et la haine dont il a été victime. Il est soigneusement porté par l’autre garçon qui le dépose finalement tout en douceur sur le sol froid de janvier.

Les deux jeunes hommes, tremblants et souffrant des blessures qu’ils ont subi, ne se laissent cependant pas rejoindre par la mort. Pas tout de suite.

Ils plongent leur regard l’un dans l’autre, se noyant dans ces prunelles chocolat qu’ils connaissent par cœur. Dans leurs yeux brillent une détresse et un amour infini.

Puis, la voix d’un des deux adolescents s’élève craintivement, brisant le silence de l’endroit.

« Tomi… Tu veux aller dans l’eau avec moi? »

Le dénommé Tom regarde son frère quelques instants puis hoche la tête, le sourire aux lèvres. Il tend la main à Bill qui la serre dans la sienne sans hésiter, les joues rougissantes.

Les deux jumeaux se dirigent alors vers l’étendue d’eau, se tenant douloureusement les côtes et tentant d’ignorer la douleur qui les tenaille. Ils prennent seulement la peine d’enlever leurs souliers et leurs bas pour pouvoir sentir le sable fin sous leurs pieds. Puis, ils finissent par plonger leurs orteils dans l’eau glacée.

Tous les deux avancent lentement, immergeant complètement leurs pieds puis leurs mollets. L’eau, extrêmement froide, leur glace les os et les fait frissonner. Cependant, les deux frères continuent leur chemin, avançant de plus belle jusqu’à ce que leur torse soient eux aussi recouverts d’eau.

Les deux jeunes hommes commencent maintenant à ressentir pleinement les effets de cette baisse de température sur leurs corps. Le froid les pénètre peu à peu, bleuissant leur peau et engourdissant leurs membres. Ils sentent, ils savent qu’ils ne tiendront plus longtemps. Mais peu importe. Tout ce qui compte est le simple fait qu’ils soient ensemble, une dernière fois.

Leur cœur cognent dans leur poitrine alors qu’ils se contemplent une fois de plus, admirant le visage parfait de cette personne qui a toujours été la seule, l’unique a leur yeux. Puis, cessant leur contemplation, ils se serrent l’un contre l’autre, profitant de cette chaleur humaine réconfortante contrastant si cruellement avec le froid de l’eau.

Au bout d’un moment, Tom, les lèvres tremblantes, murmure à l’oreille de son frère :

« Billou, je… Il y a quelque chose que tu dois savoir. Je te l’ai jamais dit mais… »

« Chut, mon Tomi. » le coupe Bill, déposant un doigt sur les lèvres de son frère.

L’androgyne, une larme coulant le long de sa joue, remonte alors son visage à la hauteur de celui de Tom puis scelle ses lèvres à celles de son jumeau.

Les doigts des deux frères s’entremêlent et leurs corps se rapprochent alors qu’ils mettent tout l’amour, toute la tendresse du monde dans ce baiser qui signifie tout.

Ils se sentent ressuscités, envahis d’un bonheur immense qui les comble en entier. Cependant, la vie, elle, quitte peu à peu leur corps.

Et c’est ainsi, leur corps enlacés et leurs lèvres scellées, qu’ils perdent la vie alors que leurs cœurs cessent de battre dans un même mouvement. Ces cœurs qui battirent à l’unisson pendant 18 ans de vie, jusqu’à la toute dernière seconde.

C'est cuuuute <333
D'autre !!!

woww cest emouvant et vraiment beau met en dautre!

Ses vraiment cute .
Suite .

C'est tellement chou!!
J'en veux d'autres!

Contente de voir que vous aimez ça ^^

Voici mon deuxième (pas meilleur que le premier, mais bon >___<)

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NUR EIN BADEN ? (Seulement une baignade?)
[ POV Tom ]

« Nan, je veux pas y aller! »
« Allez, s’il te plait! Je te promets que je vais t’aider. »

Petite moue boudeuse, air désespéré et déconfit. Il fait tout pour m’amadouer, pour que je le laisse tranquille et que je lâche l’affaire. Croyez-moi, c’est très difficile d’ignorer une scène aussi adorable, mais je ne dois pas céder. Je dois tout faire pour l’aider, il le faut.

Voyant que Bill n’a pas l’air sur le point d’accepter, je décide alors de sortir la technique qui marche à tous les coûts, celle qui finit toujours par avoir raison de lui. Je murmure doucement, clignant des yeux avec un regard de chien battu :

« Je t’en prie, mon Billou. »

Il m’observe quelques instants, les sourcils froncés, puis soupire faiblement.

« Bon, d’accord… Mais je te préviens, t’as pas intérêt à me laisser seul, hein?! »
« Non, t’inquiètes pas. »

Il hoche la tête doucement, l’air légèrement plus rassuré. Il emmène alors ses mains à son tee-shirt et le soulève, le passant par-dessus sa tête dans un gracieux mouvement. Je le vois ensuite déboutonner ses pantalons, glisser ceux-ci le long de ses jambes puis les jeter un peu plus loin, dans l’herbe.

Maintenant, Bill n’est recouvert que par son boxer. Je l’observe quelques instants, admirant son corps aux courbes fabuleusement bien dessinées et ses cheveux soyeux retombant en cascades sur ses épaules dorées. Il est magnifique, absolument parfait.

Je finis par enlever mes vêtements moi aussi, pour me retrouver dans la même tenue que lui. Je sais que la plupart des gens seraient choqués que Bill et moi soyons à l’aise de se voir en sous-vêtements, mais ça m’est égal. Avec lui, il n’y a jamais eu aucun malaise ni aucun tabou. On n’a pas peur de se voir dans cette tenue.

Le sourire aux lèvres, je me lève, bientôt suivi par Bill. Il me regarde puis finit par dire en rigolant.

« Pff, c’est bien parce que c’est toi qui me le demande! »

Je ris doucement, le ventre gonflé de bonheur.

« Bah ouais, c’est que je suis irrésistible! »

Alors qu’il rie de ma remarque, je lui prend la main avec douceur puis l’entraîne à ma suite jusqu’à ce que nous atteignions tous les deux l’objet des craintes de Bill : notre piscine. Bill a été témoin de la noyade d’un ami très proche et, depuis, il a une phobie maladive des bassins d’eau. Le simple fait de se savoir près d’une piscine ou d’un lac lui fait peur.

Et, si je le pousse à aller se baigner avec moi aujourd’hui, c’est pour l’aider à vaincre cette peur qui le paralyse et l’empêche de faire bien des choses dont il aurait envie.

Maintenant que nous sommes tout près de l’objet de ses cauchemars, la désinvolture et le sourire de Bill ont totalement disparu. Sa main, toujours dans la mienne, tressaillit. Essayant de le rassurer, je glisse doucement mon pouce contre sa main, la frottant avec tendresse.

Après quelques instants, je lâche Bill, me baisse et m’appuie sur le rebord de la piscine, me laissant glisser dans l’eau qui finit par me recouvrir jusqu’au torse.

Je lève les yeux vers Bill et lui lance un regard par lequel je tente de faire passer tout le courage que je possède. Il me regarde et sourit faiblement. Puis, au bout d’un moment, il finit par se baisser et s’asseoir sur le rebord de la piscine.

Je sens toute son inquiétude et sa panique. Voulant le rassurer, je me glisse alors entre ses jambes et entoure sa taille de mes mains. Je lui dit, tout bas :

« T’inquiète pas, Billou, je vais rester avec toi. »
« Tu… Tu vas me tenir très fort, hein Tomi? Je… J’ai besoin de toi. »
« C’est promis. Je vais te descendre dans l’eau, tout doucement, en te tenant fort par la taille. Toi, t’auras qu’à t’accrocher à moi. On va se tenir très fort. Et puis quand tu voudras plus, on va sortir. »

Il se mord nerveusement la lèvre, puis finit par dire d’une voix craintive mais
déterminée :

« D’accord. Allons-y alors. »

J’hoche la tête, resserrant ma prise autour de sa taille. Dans un lent mouvement, je soulève Bill et l’emmène vers moi, jusqu’à ce que son torse soit collé au mien.

Instantanément, il enroule ses jambes autour de ma taille et accroche fermement ses bras à mon cou.

Essayant d’y aller lentement pour ne pas trop l’effrayer, je le fais descendre jusqu’à ce que ses fesses entrent en contact avec l’eau.

Au contact du liquide de cristal, je sens Bill se crisper et sa prise se resserrer davantage sur moi. Il tremble de tous ses membres.

Je lui chuchote à l’oreille :

« Shhhh, t’inquiète pas, je suis là… »

Je passe une main sous ses fesses et resserre fortement sa taille de l’autre, le caressant doucement pour le calmer. Je le sens se détendre un peu, alors je finis par le plonger lentement dans l’eau jusqu’à ce qu’il soit immergé avec moi, son torse et sa tête à l’air libre.

Je sens sa respiration irrégulière et saccadée dans mon cou alors qu’il essaie de se calmer et de chasser la panique qui l’envahit. Je sais que c’est très difficile pour lui d’avoir à confronter cette peur qu’il a depuis si longtemps, mais je suis persuadé qu’il doit le faire et je l’aiderai jusqu’au bout pour qu’il y parvienne.

Tout ce que je peux faire, c’est essayer de le calmer du mieux que je peux en lui murmurant des paroles encourageantes et en le caressant tendrement. Je sais que ça lui apporte déjà une pointe de réconfort, mais il semble loin d’être rassuré et continue de trembler contre moi, plantant ses ongles dans ma peau avec force.

Il plonge sa tête dans mon coup et, alors qu’il frotte son nez contre ma peau, je sens quelque chose d’humide dans mon cou. Soudainement inquiet, je dis à Bill :

« Billou? Billou, regarde-moi, s’il te plait. »

Il relève la tête et me regarde, les yeux embués. Je tressaillis lorsque je constate que ce que je craignais est bel et bien réel. Il pleure. Une seule et unique larme a coulé le long de sa joue, laissant dans son sillage une délicate traînée humide.

« Oh non… Bill… Pleure pas, je t’en prie. »
« Mais c’est si difficile, Tomi… J’ai peur, j’ai l’impression que la mort va venir me chercher, comme elle l’a fait avec Andreas. »

Je soupire faiblement, peiné de voir Bill dans un tel état. Sans prendre la peine de réfléchir, j’enfouis alors ma tête dans son cou et souffle dessus tout doucement. Je sens Bill frémir.

« Il faut que tu penses à quelque chose qui te réconforte. Quelque chose pour laquelle tu vis et qui te donne du courage. Tu peux faire ça? »
« Euh… oui, je crois. »
« Très bien. Alors imagine cette chose-là tout près de toi. Imagine qu’elle t’enveloppe tout entier et te protège. Grâce à elle, rien ne pourra jamais t’arriver. Tu y arrives? »
« Oui. »

Les tremblements de Bill cessent peu à peu et sa respiration se régularise. Je peux sentir les battements de son cœur qui se calment contre ma poitrine. Je souris, heureux de constater que j’ai réussi à faire oublier à Bill sa peur pour un moment.

Nous restons longtemps serrés l’un contre l’autre à écouter nos respirations calmes. Au bout d’un moment, je sens avec surprise Bill retirer une des mains qui était autour de mon cou, pour aller la déposer sur ma joue. Il plante son regard noisette dans le mien et m’observe un long moment avant de finir par dire tout bas :

« Qu’est-ce que je fais si cette 'chose' pour laquelle je vis et qui me fait oublier mes peurs… c’est toi? »

À ces mots, je sens mon cœur faire un saut périlleux dans ma poitrine. Je scrute le regard de Bill avec attention et ce que j’y lis me coupe littéralement le souffle. Le regard qu’il a pour moi ne trompe pas… Il est rempli d’amour.

Une envolée de papillons explose dans ma poitrine alors que je prend conscience de ce que cela signifie. Alors il… il m’aime? Vraiment?

Comme s’il lisait dans mes pensées, Bill me sourit gentiment, d’un sourire pur et sincère. Puis il avance lentement son visage vers moi et presse ses lèvres contre les miennes avec douceur.

Alors c’est ça le bonheur? La sensation que l’on pourrait enfin mourir car on a vécu ce qui valait vraiment la peine de l’être? L’impression d’être invincible et de pouvoir voler jusqu’aux confins de l’univers? S’il s’agit de ça, alors j’en redemande encore.

Je soupire doucement contre la bouche de Bill et glisse ma langue sur ses lèvres. Mon ange entrouvre sa bouche immédiatement, laissant nos deux langues se caresser avec amour. Ensuite, il resserre davantage ses jambes autour de ma taille, collant son bassin au mien, me faisant frissonner délicieusement. Nos doigts parcourent le corps de l’autre, caressant chaque parcelles offertes.

Au bout d’un moment, nous finissons par détacher nos lèvres. Combien de temps notre baiser a-t-il duré? Une seconde, une minute, une heure? Je n’en sais rien. La seule chose dont je suis certain, c’est que jamais auparavant je n’ai ressenti une telle plénitude. Comme si un vide creusé en moi avait enfin été comblé.

Je dis à Bill, les yeux plein d’étoiles et mon front contre le sien :

« Alors Billou, est-ce que tu as encore peur de l’eau maintenant? »

Il me répond avec un sourire :

« Je peux pas dire qu’être dans une piscine me remplisse de bonheur… Mais tant que je suis avec toi, je suis près a affronter n’importe quoi. »

Je souris à mon tour et lui dis, au bout de quelques instants :

« Si tu savais comme je suis heureux que tu m’aimes comme moi je t’aime… Je croyais que mes sentiments pour toi n’étaient pas réciproques. »
« Eh bien tu sais, j’avais la même inquiétude. Depuis toujours. Mais je n’ai jamais su vivre sans cet amour pour toi et je ne le pourrai jamais. Parce que ça fait partie de moi, et parce que je t’aimais avant même de naître. »

Oh oui, même avant la naissance. Notre amour a commencé alors qu’on grandissait ensemble dans le ventre de notre mère. Nous sommes nés en nous aimant et nous mourrons en nous aimant. C’est comme ça. Jumeaux à la vie, à la mort.

c'est vraiment beau comment tu écris ^^
j'aime!!

ohh woww cest vraiment trop beau!

J'aime tes OS!
Continue jen veux dautre!!!!