[Fan-Fiction| Vu par Georg] Célèbre mais humain

L'après-Concert | Suite 2 |



Elle s’avançait dangereusement vers la folie des serviettes, elle en voulait surement un bout elle aussi. Tom lança sa serviette en sa direction et elle l’attrapa, un nuage de fans excessives apparu par-dessus elle, je l’avais perdu de vue, cela pris deux à trois minutes avant que je la revois de nouveau, les mains vides cette fois. Elle regardait dans tout les sens et ses cheveux avaient été déplacés. Bill nous donna le signale pour débuté la dernière chanson en rappel du show, Gustav entama le rythme de cette chanson comme jamais, comme si nous étions au début de la soirée et que si nous n’avions pas eu chaud. Tom suivit la cadence et je me joignis à eux, donnant beaucoup plus que mon maximum, je bougeais sur la scène, je me déplaçais, je m’amusais, je sentais toute l’énergie des fans qui étaient placés devant moi, cette énergie si puissante et si bonne à recevoir, comme si ce n’était que pour vous. Bill s’amusait tout autant, il dansait un peu par ci et par là, allait d’un côté à l’autre de la scène, et les fans suivaient, comme s’il n’eut été qu’un morceau de viande qu’un chien suit partout dans l’espoir d’en avoir un bout, mais ça ne me dérangeais pas, nous avions tant rêvés de cette gloire ! … C’était la fin, la chanson était terminé, les personnes ayant assistés au show hurlaient tous, ils en redemandaient encore, mais c’était assez, nous étions tous crevé.

Je lançai mon pique de guitare à travers la foule et Gustav fit de même avec ses baguettes. Tom fit un clin d’œil à nos fans et disparu derrière la scène, je suivis et les autres membres du groupe firent de même. C’était terminé, après plus d’une heure et demie de chanson.

[…]

Dans la loge, nous discutions paisiblement, nous avions tous prit notre douche et l’envie de retourner à l’hôtel n’y était pas. Nous étions assis sur des canapés de cuire blanc, la salle était grande, très grande, mais nous n’en occupions qu’une petite partie.

«Alors, qu’est-ce qu’on fait ? » Demanda Gustav, torse nue.

Il semblait fortement en avoir marre d’être ici à prendre une décision qui ne venait pas, nous étions loin de la dispute mais aucun des membres du groupe ne savaient quoi faire pour se désennuyer. Bill répondit, à son tour :

«J’en sais rien, et si nous rentrions a l’hôtel ? Pour regardez sur l’ordinateur les vidéos qu’on vient de mettre de nous, sur ce concert.

-- Ça te ressemble ça, Bill ! –-Se moqua Tom— Regarder les vidéos pour voir si tes cheveux sont devenus moins beau pendant un moment du show, ou pour voir si tu t’es cassé un ongle ! Au lieu de regarder ce genre de détail insignifiant tu devrais plutôt regarder les jolies filles qu’il y avait dans les rangés ! En tout cas, si tu ne les as pas remarquées, moi je n’y aie pas manqué ! »

Nous éclatâmes tous de rire, Gustav enchaîna, en faisant la moue :

«Oh, mais arrêtez avec ça, je suis derrière ma batterie moi, je ne vois rien ! La prochaine fois je vous passe mon portable et vous allez prendre des photos, c’est clair ? »

Nous avions tous le sourire aux lèvres, la soirée avait été une fois de plus, fantastique, mais appart Bill, aucun de nous avais envie de gâcher le restant de cette soirée fabuleuse à l’hôtel à parler de la pluie et du beau temps, quoi qu’il ne faisait pas très beau à l’extérieur ce soir. D’ailleurs, ça nous chicotais un peu, nous savions tous, surtout Bill et Tom, que signer des autographes dans le froid accompagnés de gouttelettes de pluie ce n’était pas ce qu’il y avait de plus réjouissant, je n’ai pas besoin de préciser que Bill pensait aussi à son maquillage qui ne tiendrait pas longtemps sous la pluie. Quant à moi, je pensais surtout à mes cheveux, je n’avais pas envie d’avoir pleins de frisotis dans les cheveux, cette période de ma vie était terminé depuis un bout ! C’est alors que Tom proposa :

«Et si nous sortions tous dans des clubs ? Pas nécessairement boire un verre mais danser un peu, ou même …

-- Draguer. C’est bien draguer que tu voulais dire ? Tom ? »

J’avais interrompu monsieur Kaulitz, mais pas vraiment en fait, j’avais simplement continué le reste de sa phrase, Gustav éclata de rire, suivit de Bill qui ne se gêna pas pour commenter à quel point son frère n’y manquait jamais. Bref, chacun accepta, ce soir, nous allions dans les night clubs !